Comme un ouragan

Publié le par Philantropio

Je vous aime!

Publié dans philanthropiqueblog

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V
Cher Philantropio,<br /> <br /> Je suppose que vous voulez parler de la dague.<br />
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V
<br /> ... mais les perles de rosée reviennent au petit matin comme tout la Belle de Jour referme ses pétales au crépuscule.<br /> <br /> Bien aimablement too.
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P
Chère Valérie, <br /> il y a les belles de jour, les belles de onze heures, il y a aussi les belles de nuit qui s'ouvrent la nuit et se referment quand le soleil les caresse...  mais curieusement cela me rappelle un proverbe chinois, à moins que ce ne soit une pensée de ce coquin érotomane de Lao Tseu, ou peut être de cet histrion féministe de Confucius, enfin je ne sais plus, ce proverbe dit ceci : La langue d'une femme est son épée et elle ne la laisse jamais rouiller. <br /> Bien aimablement<br /> Philantropio
V
Pardon, je n'avais pas vu votre com, Stepharchigirl. Il est arrivé entre temps et j'avais laissé le fichier ouvert tel quel auparavant, perdue dans mes pensées.<br /> <br /> Sinon, je me serais abstenue de poster. <br /> <br /> Veuillez m'excuser, quoi qu'il en soit. <br /> <br /> Sincèrement,<br /> <br /> ( j'ai envie de hurler " Putain de bordel de merde ". C'est fait )
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P
Chère Valérie, <br /> La sincérité est la perle qui se forme sur les pétales du coeur, disait mon oncle pécheur,  lorsqu'il rentrait avec trois vairons dans sa nasse et quelques piboulades dans sa besace. Les perles de rosée sur les pétales de fleurs sont comme des diamants sur du velour,  la lumière du soleil les transperce de  son spectre coloré, les reflets ravissent nos pupilles d'enfant, mais hélas, la chaleur des rayons,  évapore les joyaux éphémères...<br /> Bien aimablement<br /> Philantropio
V
Moi je craque pour la fleur de pomme de terre, ça doit être mes origines paysannes.<br /> Etre une perle de rosée sur un des pétales. Ce pourrait être sur une feuille, mais les vilains doryphores me font peur. Ils ont hanté mon enfance, à grands coups de flitox chimique qui puait, les champs de patates étaient de vrais cimetières, et les feuilles des pommes de terre qu’étaient même plus vertes, toute blanches. C’est pas toujours beau le blanc.<br /> Quitte à être bue, autant l’être par un petit papillon virevoltant. Ça c’est pour mon côté pouète. Et puis je crois que j’aime bien les papillons. L’air qui batifole et puis ça fait cligner des yeux.<br /> <br /> Valérie toute phlox<br />
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S
Paroles : M. Leonor<br /> Musique : R. Musumarra<br /> ----------<br /> <br /> Vision d'orage,<br /> J'voudrais pas qu'tu t'en ailles.<br /> La passion comme une ombre,<br /> Fallait que j'y succombe.<br /> Tu m'enlaçais,<br /> Dans les ruines du vieux Rome.<br /> A part nous, y a personne.<br /> Seul le tonnerre résonne,<br /> M'emprisonne,<br /> Tourbillone.<br /> <br /> Comme un ouragan<br /> Qui passait sur moi,<br /> L'amour a tout emporté.<br /> T'es restée, l'envie<br /> Et l'accent d'furie<br /> Qu'on ne peut plus arrêter.<br /> Comme un ouragan,<br /> La tempête en moi<br /> A balayé le passé,<br /> Allumé le vice.<br /> C'est un incendie<br /> Qu'on ne peut plus arrêter.<br /> <br /> Vision d'image<br /> D'un voyage qui s'achève<br /> Comme une nuit sans rêve,<br /> Une bataille sans trêve,<br /> Cette nuit à Rome.<br /> Ton absence me dévore<br /> Et mon cœur bat trop fort.<br /> Ai-je raison ou tort<br /> De t'aimer tellement fort ?<br /> <br /> Comme un ouragan<br /> Qui passait sur moi,<br /> L'amour a tout emporté.<br /> T'es restée, l'envie<br /> Et l'accent d'furie<br /> Qu'on ne peut plus arrêter.<br /> Comme un ouragan,<br /> La tempête en moi<br /> A balayé le passé,<br /> Allumé le vice.<br /> C'est un incendie<br /> Qu'on ne peut plus arrêter.<br /> <br /> Désir, trahir, maudire, rougir,<br /> Désir, souffrir, mourir, pourquoi ?<br /> On ne dit jamais ces choses là.<br /> Un sentiment secret, d'accord,<br /> Un sentiment qui hurle fort.<br /> <br /> Comme un ouragan,<br /> La tempête en moi<br /> A balayé le passé,<br /> Allumé le vice.<br /> C'est un incendie<br /> Qu'on ne peut plus arrêter.<br /> Comme un ouragan<br /> Qui passait sur moi,<br /> L'amour a tout emporté.<br /> T'es restée, l'envie<br /> Et l'accent d'furie<br /> Qu'on ne peut plus arrêter.<br /> Comme un ouragan,<br /> La tempête en moi<br /> <br /> Je me devais cher hôte de vous mettre ces paroles qui m'ont poursuivie tant d'années, d'autant que l'on m'a affublée du sobriquet de Steph-de-Monac tellement de fois et, que j'ai eu la preuve que cela me poursuit toujours dans mon milieu professionnel... Le seul remède que j'ai trouvé à ce jour à cette chose est de retirer définitivement ma chevalière : cessant de combattre j'ai déposé mes armes.<br /> <br /> Noblement à vous avec tout l'Amour que je vous porte
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P
<br /> Chère Steph, <br /> les surnoms peuvent parfois irriter le cortex cérébral, j’en conviens, surtout, lorsqu’ils sont répétés à tire larigot. J’ai moi-même été affublé de noms d’oiseaux pas très agréables, mais avec du recul, je me suis dit qu’ils m’étaient attribués par affection où par jalousie... Avouez, chère Stéph, qu’être traitée de princesse, n’est pas des plus déshonorant… En tout cas, je salue votre sagesse, au diable les quolibets et déposer votre chevalière est une preuve de grande sérénité digne d’une princesse, chère Stéphanie de Monaco…non je me suis trompé… je voulais dire,  Stéphanie de mon coeur. <br /> Bien aimablement <br /> Philantropio de Monac’<br />